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Disque 

Les miroirs de la vie

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Clip 
Ballet de parapluies

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Répétitions création "Ballet de parapluies" Prise 1

Mes textes

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Textes 
Chansons

À nouveau
A tout cœur, à tout carreau,
Et briser la glace aux sanglots.
Rouge moqueur, bleu indigo.
Etat de siège et bris de mots.
Mais voir s’enfuir notre amour de tes lèvres,
Nos deux hanches se séparer, notre haleine.
Essaie, essayons d’essayer,
A nouveau…
Essaimer, semer et s’aimer,
De nouveau.
Des bris de mots, en bris de glace.
Un hématome sur le cœur.
A voix haute, ou à voix basse,
Elle est idem la douleur.
Mais voir s’enfuir notre amour de tes lèvres,
Nos deux hanches se séparer, notre haleine.
Essaie, essayons d’essayer,
A nouveau…
Essaimer, semer et s’aimer,
De nouveau.A tout cœur, à tout carreau,
A la buée, je bois tes mots.
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Bea blues

Comme dans un dégradé de gris,

Où les nuages s’la jouent mélancolie.
Comme la pluie avant qu’elle ne tombe,
Qu’elle efface nos instants nos ombres…

Béa Blues.
De tes yeux, le pastel embué,
Le mouvement d’une vie à l’archet…

Béa Blues.
Une vie du tout recommencer,
Comme quand on apprend à marcher…

Béa Blues
Elle résonnait, je l’entendais.
Elle arrivait, je l’attendais… Béa Blues.
Elle souriait, je rougissais, sur son dos son alto glissait… Béa Blues.
Le temps de vivre, le temps d’aimer,
Ne jamais le susurrer … Béa Blues
La tendresse, ce n’est pas aimer,
C’est une partition inachevée … Béa Blues.
Et devant ce micro isolé,
J’aurais aimé lui susurrer … Je
Béa Blues.

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Ballet de parapluies (rue de Verneuil)
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Mais de ton regard clair,
Automne hiver.
Ouaté de fumée bleue,
Matins heureux.
Cette élégance du verbe,
A mots couverts,
J’remonte mon col un peu.

​

Ballet de parapluies sur le trottoir mouillé,
Chacun sa petite vie et le tour est joué.
Ballet de parapluies sur le trottoir mouillé,
Le côté impair est mieux protégé.

​

Mais de ton regard clair,
Automne hiver.
Ouaté de fumée bleue,
Matins heureux.
Cette élégance du verbe,
A mots couverts,
J’remonte mon col un peu.

​

Ballet de parapluies sur le trottoir mouillé,
Chacun sa petite vie et le tour est joué.
Ballet de parapluies sur le trottoir mouillé,
Le côté impair est mieux protégé.

​

Le rythme nonchalant,
Les mouvements du cœur lents.
Loin qu’il est le début,
De la fin je n’m’en rappelle… Chuuut !

Les châteaux de sable

Saint-Raphaël la plage dorée,
Ma pelle mon seau comme une image.
J’ai vu le jour le bout d’mon nez,
Tout p’tit déjà un sol friable.
En courant d’air la communale,
Les maths Einstein au gardénal,
Sur un dos d’âne j’ai fait la malle,
Sur un dos d’âne j’ai fait la malle.
Alors on part sur les chemins,
A la dérive d’un matin.
On collectionne les p’tits boulots,
Au noir, plus tard on s’ra réglo.
De toute façon c’est provisoire,
Faire les marchés rue Corvisart,
Mes belles … années.

​

Mais de mes allers-retours, mes détours de moi à vous,
J’vous les offre à vous d’choose,
Mes joies, mes rêves de gosse.

​

J’en ai appris sur les étals,
Le niveau de vie sur l’ardoise,
Sur les marchés à la remballe,
C’est là que la misère s’installe.
La vie … la vie comme du vitrail,
Elle te déchire comme du corail,


Vrai qu’elle déchire comme du corail.

J’ai tout plaqué, tout remballé,
Et j’ai appris mon alphabet.
J’voulais juste apprendre à parler,
Enfin je veux dire parler français !
L’esprit fait corps avec les mots,
Quand tu te guéris de tes maux,
La poésie de Nougaro.
Dans une salle tamisée aux voluptés de jazz,
Un soir je m’y suis essayé et j’ai fait table rase.
De mon passé, de mon présent, soudés comme une renaissance,
Les yeux au Père Noël des anges.
Saint-Raphaël la plage dorée, une pelle, un seau, j’ai deux images.
Avec Vincent et Hugo aujourd’hui on fait des châteaux.
Saint-Raphaël la plage dorée,
Mes deux cailloux, bien d’avantage.
Vincent, Hugo.

​

Mais de mes allers-retours, mes détours de moi à vous,
J’vous les offre à vous d’choose,
Mes joies, mes rêves de gosse.

​

Saint-Raphaël la plage dorée, une pelle, un seau, j’ai deux images.
Avec Vincent et Hugo aujourd’hui on fait des châteaux.
Saint-Raphaël la plage dorée, merci au Père Noël des anges.
La vie, la vie, la vie … comme un cadeau.

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Alarme blues

Alarme on s’joue des tours tour à tour,
Alarme à la vie à l’amour.
Alarme aux vérités défaites,
Alarme d’être seulement être.

Rose éléphant elle est la vie,
On m’l’avait dit, on m’l’avait dit !
Finalement Maman m’a menti,
Alarme Blues … le gris souris.

​

A l’arme à la main qui crépite,
La larme à l’œil sur ce corps qui gît.
Alarme on s’dit j’t’aimerai toujours,
Alarme c’est du toujours trop court !

Rose éléphant elle est la vie,
On m’l’avait dit, on m’l’avait dit.
Finalement Maman m’a menti.
Alarme le Blues … le gris souris.

​

Rose éléphant elle est la vie,
On m’l’avait dit, on m’l’avait dit.
Finalement Maman m’a menti.
Alarme Blues … le gris souris.

Sens dessus dessous

J’l’ai suivie par … en dessous,
Jusqu’à la chambre … du dessus.
Elle me dévoile … ses dessous,
J’y pose mes yeux … dessus.
Elle s’étire dessus,
Les draps qui plissent dessous
Mes lèvres tièdes dessus,
Elle n’a plus ses dessous.
J’suis sens dessus dessous,
Disons sous elle au-dessus,
Elle m’sourit par en dessous,
Dites j’vous ai pas déçue ?
Dessus dessous.

J’suis sens dessus dessous,
Disons sous elle au-dessus,
Elle m’sourit par en dessous.
J’lui donne mon cœur en sus.
Dessus dessous,
J’suis sens dessus dessous.
Dessus dessous, dessous dessus.
J’suis sens dessus dessous.
Dessus dessous, dessous dessus.

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Origami (les plis du coeur)

L’enveloppe collée,
Le timbre oblitéré,
Le tampon salon du souvenir.
Dessous dessus,
Plié je l’ai reçu,
Ton soupir, ta missive.
Majuscule, point sur les i,
Minuscule tu m’aspires.
Papier gommé,
Souillon la tâche !
Papier d’verre,
Tu m’arraches.
Mais tous tes « jeux t’aime »,
Sur ton venin d’Angoulême.
Sur mon cœur papier carbone,
Emotif à la gomme.
Majuscule, point sur les i,
Minuscule tu m’aspires.
Papier gommé,
Souillon la tâche !
Papier d’verre,
Tu m’arraches.
Mais tous tes « jeux t’aime »
Sur ton venin d’Angoulême,
Biffés, rayés, tâchés, froissés,
Les plis du cœur.
Mais tous tes « jeux t’aime »,
Sur ton venin d’Angoulême.

Le cœur comme un origami,
Dans la corbeille jeté.
Les plis du cœur,
Comme un origami.

Les semelles de swing
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L’homme aux semelles de swing
Balance la gomme de son feeling,
Va dans le jazz va, jazz dans le va
Au firmament.
L’homme aux semelles de swing
Balance la gomme de son feeling,
Va dans le jazz va, jazz dans le va
Au firmament.
Par monts et par mots,
Roucoule en syncope.
Look à la Columbo,
Sans son imper ciré.
Sourit à Armstrong,
Fonce sous les projos,
Pour une jazz va song
Une histoire de bons mots.
L’homme aux semelles de swing 
Balance la gomme de son feeling,
Va dans le jazz va, jazz dans le va
L’homme aux semelles de swing 
Balance la gomme de son feeling,
Va dans le jazz va, jazz dans le va.

Boulevard du scotch
Un peu chaloupé,
Troque contre un be-bop
Un blues éraillé.
Et vogue vers la bleue,
La note inégalée,
Et vogue la Garonne,
Alléluia, allez !
L’homme aux semelles de swing 
Balance la gomme de son feeling,
Va dans le jazz va, jazz dans le va
Au firmament.
L’homme aux semelles de swing 
Balance la gomme de son feeling,
Va dans le jazz va, jazz dans le va
Au firmament.

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